Il ne faut pas rêver sa vie mais vivre ses rêves.

Parlez-nous de vous Brigitte

Je suis dans la formation continue du droit social et en anglais des affaires depuis plus de 20 ans. Ce qui a changé ma vie, c’est que je suis passée d’un statut de salariée à un statut d’indépendante. J’ai créé CAP TRAINING en 2007.

Racontez-nous vos premiers pas chez Altitude conseil

Le déclic c’est grâce à Pôle Emploi qui m’a fait connaître un consultant et c’est via Nicolas que j’ai pu mettre en pratique toutes les idées que j’avais déjà en tête. C’est comme ça que j’ai commencé l’aventure.

Quelles étaient vos interrogations à l’époque et les enjeux pour vous ?

Les enjeux, comme pour toute entreprise, c’est de savoir comment tenir la route. L’important c’est de bien démarrer. Des start-ups, il y en a à foison mais il faut qu’elles sachent comment tenir un budget, comment avoir un bon argumentaire commercial. Car, quand on se met à son compte, on est tout à la fois : le dirigeant, le commercial et à la production. Il faut donc être partout, au four et au moulin comme on dit !

Quels bénéfices avez-vous retiré de l’accompagnement ?

Les bénéfices que j’en ai retiré c’est comment devenir mon propre patron, pouvoir correctement chiffrer une prestation, apprendre à me vendre. C’est quelque chose d’exaltant et c’est une très belle aventure que je ne regrette pas. Nicolas m’a donné la lumière, l’éclairage dont j’avais besoin. Tout le monde sait qu’enseigner la formation continue ou la formation initiale, même dans les universités ou auprès d’organismes, ce n’est pas vraiment vendeur. Nicolas m’a montré le côté business de mon métier. Ca a été un véritable éclairage et encore maintenant, lorsque je facture, je pense encore aux  calculs savants et à toutes les petites informations et les tuyaux qu’il a pu me donner.

Quelles étaient vos motivations ?

Etre mon propre chef, ça c’était vraiment déterminant. Être à son compte, ça permet d’utiliser le temps comme on l’entend. Evidemment il faut avoir des garde-fous mais ça permet d’être réellement libre et ça c’était très important pour moi. Faire partie de réseaux, c’est ce que j’aime faire. J’aime rencontrer des gens. J’aime parler de mon métier mais j’aime aussi découvrir ce que font les autres. Mon métier d’entrepreneur me permet de faire tout ça.

Quelles sont vos satisfactions ?

Avoir finalement réalisé mon projet initial qui était un peu enfoui et que Nicolas a pu dépoussiérer et mettre en lumière ! Je suis fière de mon métier et de la liberté qu’il m’apporte. Je me suis énormément enrichie et j’ai évolué grâce à toutes ces rencontres : dans mes compétences, dans mon métier et mon offre. Je suis passée de formatrice en anglais des affaires à consultante car j’apporte aussi du conseil et j’ai élargi mes compétences en coaching. Je fais beaucoup de coaching maintenant et pas uniquement en anglais : les gens me font confiance.

Quel conseil donneriez-vous aux futurs entrepreneurs ?

Osez ! Et osez si vraiment vous le sentez. La pratique et l’expérience m’ont appris qu’il ne fallait pas rêver sa vie mais vivre ses rêves.