" Devant moi, j’avais une page blanche... "

Parlez-nous de vous Sylvie

J’ai quitté mon ancienne entreprise PLASTIC OMNIUM au sein de laquelle j’étais chef de projet il y a 3 ans. Aujourd’hui je suis chef d’une entreprise : la société ASPIRTEC RHONE ALPES. Je propose des prestations de terrassement par aspiration dans le secteur des travaux publics.

Racontez-nous vos premiers pas chez Altitude conseil

Lorsque j’ai quitté mon entreprise, je me suis fait accompagner par un cabinet d’outplacement au sein duquel j’ai rencontré mon consultant. Je m’interrogeais à l’époque sur la direction que je devais prendre : retrouver une activité salariée et retrouver une entreprise ou m’engager dans une aventure entrepreneuriale.

Quelles étaient vos interrogations à l’époque et les enjeux pour vous ?

Je me posais mille questions car je n’avais pas beaucoup ou peu réfléchi sur la démarche de création d’entreprise. Devant moi, j’avais une page blanche. Je me posais des questions sur le montage juridique, le montage administratif, le business plan, l’étude de marche, sur ce que je devais faire et par quoi je devais commencer. Il y a avait vraiment tout à faire même si on s’est beaucoup focalisés au départ sur le montage juridique et administratif. J’avais aussi besoin d’être rassurée sur ce plan et en particulier sur mon statut, sur ce que je devenais, sur les enjeux personnels associés à l’engagement dans un tel parcours.

Quels bénéfices avez-vous retiré de l’accompagnement ?

Mon consultant a su vraiment me rassurer et m’accompagner petit à petit sur les différentes démarches à entreprendre et étapes à passer. Il m’a donné un storyboard et on se voyait très régulièrement pour valider chaque épisode à chaque rencontre. Cela m’a permis d’avancer pas à pas.

Quelles sont vos satisfactions ?

Satisfaite d’avoir osé le faire, tout simplement ! Car au départ, quand vous vous lancez dans ce type d’aventure, certaines personnes qui vous disent « non mais t’es folle, ça va pas ». Aujourd’hui je suis fière d’avoir multiplié mon chiffre d’affaires par cinq de la première à la deuxième année.

Quel conseil donneriez-vous aux futurs entrepreneurs ?

Il faut se lancer et surmonter ses appréhensions. Il faut aller au-delà. Quand on est seul, on a pas trop le choix mais en même temps c’est ce qui nous pousse et nous entraine !